À la redécouverte des vitraux de Metz

Dans le cadre du festival Constellations et celui des célébrations des 800 ans de la Cathédrale Saint-Etienne, Metz propose son Parcours Vitrail autour d’œuvres plastiques, numériques et même virtuelles. On y retrouve notamment une installation fabuleuse d'Elsa Tomkowiak que la galerie Faux Mouvement avait accueilli il y a trois ans et qui avait déjà fait forte impression.

Hic, un voyage sonore à Metz

Le centre d'art contemporaine messin Faux Mouvement accueille une installation sonore fascinante de Philippe Pannier, jusqu'au 31 octobre. Déchaussez-vous, asseyez-vous ou allongez-vous... et écoutez !

Un aperçu de la scène artistique contemporaine du Cambodge

Faux Mouvement à Metz offre des approches et des perspectives toujours intéressantes et pertinentes sur des sujets souvent sensibles. Jusqu’au 26 mars, le centre d’art accueille une exposition de dix artistes cambodgiens qui ont survécu ou sont nés après la période des Khmers rouges (1975-1979). Le paysage après coup réunit des œuvres intenses, troublantes, poétiques faisant appel à divers supports plastiques.

Les photographies de Rattana Vandy (Bomb Ponds, 2009) témoignent des traces des crimes commis par les Khmers rouges présentes dans le sol même du Cambodge, des cratères des bombes à présent recouverts de végétation. Ce travail touchera sans aucun doute tous les Lorrains qui connaissent les paysages accidentés hérités de la Première Guerre mondiale.

Des vœux pour 2018

La petite araignée a fait ses premiers pas sur la toile il y a un peu plus de trois mois, le 20 septembre dernier. Depuis, le blog vous a proposé 28 articles, sur 15 expositions et 2 ballades contemplatives. Il vous a fait visiter 12 lieux (le FRAC Lorraine, la Douëra, le centre d'art contemporain Faux Mouvement, le centre Pompidou-Metz, la galerie Neuf, la galerie KD, la galerie Z, l'église des Trinitaires, le musée de l'Art Ludique, la Tate Modern, le musée Jack The Ripper, les studios de Harry Potter) dans 6 villes (Nancy, Malzéville, Metz, Paris, Londres... et Poudlard !) Il vous a proposé deux semaines sépciales, l'une sur DC Comics et l'autre sur Londres. Voilà pour ce qui est d'hier.
Et demain ?

Une saison japonaise #4 : Japanorama (2e partie)

Il m’a semblé pertinent de consacrer deux articles à Japanorama tant l’exposition offre de points de vue différents sur la création contemporaine japonaise. Rassurez-vous, je ne cite bien sûr ni tous les artistes exposés ni toutes les œuvres présentées, afin de conserver au visiteur que vous êtes une large part de découverte. Ce deuxième opus vous donnera, je l’espère, encore davantage l’envie de participer à cette manifestation, si ce n’est pas déjà fait.

L’exposition se poursuit donc dans une seconde galerie sur le thème de la collaboration, la participation et le partage. Un espace est consacré au mouvement Fluxus. Des films emblématiques comme Eyeblink (1966) de Yoko Ono, dans lequel un œil s’ouvre au ralenti, ou Disappearing Music for Face (1966) de Mieko Shiomi, dans lequel une bouche esquisse un sourire au ralenti, sont présentés. Pour apprécier ces œuvres, il faut les replacer dans le contexte artistique de l’époque...

Black box(es)

Le centre d’art Faux Mouvement a eu l’idée de mettre à disposition de seize artistes des "boîtes noires" qu’ils pouvaient s’approprier comme bon leur semblait. Le concept de cette exposition s’appuie sur l’idée de la fameuse "boîte noire" de l’avion, qui n’est en réalité jamais noire mais orange, et qui enregistre des données conscientes, des données qui échappent ou se dissimulent à la conscience. Chaque boîte, de taille identique et posée sur deux tréteaux, est accompagnée d’une œuvre de l’artiste, qui s’ajoute à l’œuvre soit en complément soit en contrepoint...

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